A un an des législatives, voici mon sentiment.
J’informe : Dans 13 mois,
PLV : Je soutiendrai Nicolas Sarkozy, parce qu’il incarne à la fois le renouveau, la volonté et le bon sens. Mais je ne serai pas candidat aux élections législatives dans la circonscription, parce que les conditions de l’unité ne sont pas réunies : Michel Savin a indiqué qu’il refusait d’être mon suppléant. Dans ces conditions, je crois préférable de lui laisser la liberté totale de candidature. J’informe : Vous regrettez cette situation ? PLV : Michel Savin brigue J’informe : Vous le soutiendrez donc ? PLV : Il n’a aucun souci à se faire, puisque je m’engagerai à ses côtés avec autant de ferveur qu’il m’a soutenu en 2002. C’est la moindre des choses, je crois ! J’informe : Quels conseils lui donnerez vous ? PLV : Je ne crois pas qu’il en ait besoin, ni d’ailleurs, qu’il m’en demandera. Son talent l’exonère de toute sollicitation. Il me semble néanmoins qu’à sa place, je me mettrais au plus vite au travail sur le fond. Un député n’est pas un simple porteur d’étiquette. C’est un porteur d’étendard : celui de ses convictions. Il faut donc qu’il travaille sur les dossiers de la santé, de l’emploi, de la sécurité, du logement, qu’il ait une opinion claire sur l’Europe, le cumul des mandats, la décentralisation. Ses qualités de proximité en font un bon candidat. Il faut désormais qu’il y ajoute des facultés d’analyse et de défense de causes nationales pour être un bon député. Etre député, ce n’est pas occuper un siège : c’est intervenir dans les ministères pour défendre sa circonscription, et dans l’hémicycle pour faire progresser les sujets de société. J’informe : Vous avez, sur ces sujets des opinions ... PLV : Dans mon ouvrage “Place de